Jean-jean a de la bouteille au cul

Adam et Eve … Laurel et Hardi, Roux et Combaluzier, Procter&Gamble, Stone et Charden, Bonnie and Clyde, Castor et Pollux, Omar et Fred, Elie Semoun et Dieudonné, Asterix et Obélix, même les clowns sont tristes à notre époque. Sans sombrer dans la sodomie de diptères et comme disait l’autre, l’autre s’appelant tout de même Paul Verlaine, «  Heureux qui, profitant des plaisirs de la terre, baisant un petit cul, buvant dans un grand verre, remplit l’un, vide l’autre et passe avec gaieté du cul de la bouteille au cul de la beauté. » Oui, j’ai l’âme poétique quand la bouteille de vin nous en dit beaucoup sur nous-même. Dans mon livre de chevet : le manuel des bonnes manières de Nadine le girondine, celle qui pète quand elle se dandine, celle qui a ouvert plus de braguettes que de dictionnaires nous parle de fonds, de fondements, ou plus prosaïquement du cul de bouteille. Comme quoi regarder un cul est toujours instructif ! Une bouteille bien culottée peut ajouter, non seulement de la poésie et du charme au vin, mais aussi lui conférer un petit supplément d’âme.

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Ras la carafe ou le monde d’après (ou pas !!)

Je suis comme tout le monde, j’en ai ras la carafe de ce virus, des restrictions sanitaires, des gestes barrières, du couvre-feu, du confinement, du télétravail, du masque et des Chinoiseries. Je commence à avoir les caramels qui suintent au fond du panier. J’en ai marre de me goinfrer de coco-mousse devant le meilleur pâtissier qui rate ses gâteaux. Je veux vivre, sortir, boire des coups, me taper une côte de Bœuf et toutes ces choses qui font le sel et le poivre de la vie. Le 4 juillet, on remet une tune dans le bastringue, on sort la nappe à carreau, le tire-bouchon et les verres du dimanche et on s’en fait une petite, enfin, pas trop petite quand même. Et comme je ne suis pas radin, pour vous rassurer, je vous livre les conseils de tonton Psyko pour venir tranquille comme Mimille.

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